Suchergebnisse

"The paper explains how a movement, which in 2001 was dismissed as defeated and irrelevant to the future of Afghanistan, re-established its influence across the country during the decade of international intervention in order to position itself as a serious contender for power by 2011. The paper shows that the Taliban effectively harnessed multiple Afghan cultural resources, including religious institutions, the Pashtun tribal system, elements of the Afghan national narrative as well as also embracing modern communications. However, the Taliban movement still suffers from constraints to its social power, in the form of limited ethnic appeal, lack of inroads in urban areas and slowness to embrace the instruments of pluralism. The implication is that the Taliban are still ill-equipped to exercise state power." (author's abstract)

Pak-Afghan relations in post-Taliban era are a narration of mistrust and a display of the Prisoner's Dilemma. Despite Pakistan's efforts to maintain good neighbourly relations, it is being blamed for chaotic situation in Afghanistan, providing safe havens for miscreants in FATA, sponsoring terrorism and suicide bombing in the latter. On the other hand, Pakistan is also suspicious of Afghanistan's India-centric policies, which results in insurgency and unrest in FATA, Balochistan and different parts of the country. Despite several commonalities and both being allies in the war against terrorism, the trust gap however is so broad that both the countries cannot decipher their disagreements bilaterally. Resultantly, both have become a recipe of never ending violence and allowing regional powers to interfere in their affairs and exploit the situation to their own advantage. Pak-Afghan relations cannot afford mistrust and hostility, which has repeatedly caused negative repercussions on their relations. The paper employs Prisoner's Dilemma approach to examine the nature of Pak-Afghan relations and draw a conclusion for trust building via its repeated reciprocal strategies. In addition, the theoretical framework explains that reciprocal strategies, if adopted, will enable Pakistan and Afghanistan to break Prisoner's Dilemma, sustain trust and convert their limited cooperation into full cooperation based on mutual trust.

International audience ; La génération des femmes afghanes qui ont entre 25 ans et 35 ans aujourd'hui joue un rôle important dans l'évolution de la condition féminine en Afghanistan, en particulier depuis les événements de 2001 et la disparition du régime des Talibans. Les femmes afghanes sous les Talibans étaient astreintes au strict respect des règles imposées par l'Emirat islamique des Talibans. Elles ne pouvaient pas sortir de leur maison sans être accompagnées d'un homme appartenant à leur environnement familial proche. L'éducation et les activités sociales leur étaient interdites ; seuls les hommes recevaient une éducation religieuse [1]. Depuis 2001, une nouvelle génération de femmes émerge et se montre active sur les scènes sociale, politique et économique. Elle porte un regard différent sur la condition féminine et sur le rôle qu'elles peuvent jouer dans la vie sociale et politique. Elle milite au niveau national et international [2] sur ces sujets. Aujourd'hui, à Kaboul et dans les autres grandes villes, les femmes sont très actives et elles sortent de leur maison pour travailler, pour poursuivre leurs études ou participer à des activités sociales. L'université de Kaboul est un exemple significatif : une grande majorité des étudiants de cette université sont des jeunes filles et, parmi celles-ci, beaucoup viennent des régions pauvres et excentrées du pays. La nouvelle génération de femmes, apparue après la chute des Talibans, se mobilise afin d'améliorer la condition féminine, aidée dans ce combat par des organisations internationales et des militants internationaux. Mais d'où vient cette génération ? Quelle est son origine ? Comment milite-t-elle ? Originaire de plusieurs ethnies et multiculturelle, elle s'est construite, dans les années 1990, sous l'influence de la guerre et des événements politiques subis dans le pays, de l'immigration et de l'éducation. La figure de Shahrzad Akbar permet de mieux connaître [3] la nature et l'importance de son rôle.

International audience ; La génération des femmes afghanes qui ont entre 25 ans et 35 ans aujourd'hui joue un rôle important dans l'évolution de la condition féminine en Afghanistan, en particulier depuis les événements de 2001 et la disparition du régime des Talibans. Les femmes afghanes sous les Talibans étaient astreintes au strict respect des règles imposées par l'Emirat islamique des Talibans. Elles ne pouvaient pas sortir de leur maison sans être accompagnées d'un homme appartenant à leur environnement familial proche. L'éducation et les activités sociales leur étaient interdites ; seuls les hommes recevaient une éducation religieuse [1]. Depuis 2001, une nouvelle génération de femmes émerge et se montre active sur les scènes sociale, politique et économique. Elle porte un regard différent sur la condition féminine et sur le rôle qu'elles peuvent jouer dans la vie sociale et politique. Elle milite au niveau national et international [2] sur ces sujets. Aujourd'hui, à Kaboul et dans les autres grandes villes, les femmes sont très actives et elles sortent de leur maison pour travailler, pour poursuivre leurs études ou participer à des activités sociales. L'université de Kaboul est un exemple significatif : une grande majorité des étudiants de cette université sont des jeunes filles et, parmi celles-ci, beaucoup viennent des régions pauvres et excentrées du pays. La nouvelle génération de femmes, apparue après la chute des Talibans, se mobilise afin d'améliorer la condition féminine, aidée dans ce combat par des organisations internationales et des militants internationaux. Mais d'où vient cette génération ? Quelle est son origine ? Comment milite-t-elle ? Originaire de plusieurs ethnies et multiculturelle, elle s'est construite, dans les années 1990, sous l'influence de la guerre et des événements politiques subis dans le pays, de l'immigration et de l'éducation. La figure de Shahrzad Akbar permet de mieux connaître [3] la nature et l'importance de son rôle.

International audience ; La génération des femmes afghanes qui ont entre 25 ans et 35 ans aujourd'hui joue un rôle important dans l'évolution de la condition féminine en Afghanistan, en particulier depuis les événements de 2001 et la disparition du régime des Talibans. Les femmes afghanes sous les Talibans étaient astreintes au strict respect des règles imposées par l'Emirat islamique des Talibans. Elles ne pouvaient pas sortir de leur maison sans être accompagnées d'un homme appartenant à leur environnement familial proche. L'éducation et les activités sociales leur étaient interdites ; seuls les hommes recevaient une éducation religieuse [1]. Depuis 2001, une nouvelle génération de femmes émerge et se montre active sur les scènes sociale, politique et économique. Elle porte un regard différent sur la condition féminine et sur le rôle qu'elles peuvent jouer dans la vie sociale et politique. Elle milite au niveau national et international [2] sur ces sujets. Aujourd'hui, à Kaboul et dans les autres grandes villes, les femmes sont très actives et elles sortent de leur maison pour travailler, pour poursuivre leurs études ou participer à des activités sociales. L'université de Kaboul est un exemple significatif : une grande majorité des étudiants de cette université sont des jeunes filles et, parmi celles-ci, beaucoup viennent des régions pauvres et excentrées du pays. La nouvelle génération de femmes, apparue après la chute des Talibans, se mobilise afin d'améliorer la condition féminine, aidée dans ce combat par des organisations internationales et des militants internationaux. Mais d'où vient cette génération ? Quelle est son origine ? Comment milite-t-elle ? Originaire de plusieurs ethnies et multiculturelle, elle s'est construite, dans les années 1990, sous l'influence de la guerre et des événements politiques subis dans le pays, de l'immigration et de l'éducation. La figure de Shahrzad Akbar permet de mieux connaître [3] la nature et l'importance de son rôle.

International audience ; La génération des femmes afghanes qui ont entre 25 ans et 35 ans aujourd'hui joue un rôle important dans l'évolution de la condition féminine en Afghanistan, en particulier depuis les événements de 2001 et la disparition du régime des Talibans. Les femmes afghanes sous les Talibans étaient astreintes au strict respect des règles imposées par l'Emirat islamique des Talibans. Elles ne pouvaient pas sortir de leur maison sans être accompagnées d'un homme appartenant à leur environnement familial proche. L'éducation et les activités sociales leur étaient interdites ; seuls les hommes recevaient une éducation religieuse [1]. Depuis 2001, une nouvelle génération de femmes émerge et se montre active sur les scènes sociale, politique et économique. Elle porte un regard différent sur la condition féminine et sur le rôle qu'elles peuvent jouer dans la vie sociale et politique. Elle milite au niveau national et international [2] sur ces sujets. Aujourd'hui, à Kaboul et dans les autres grandes villes, les femmes sont très actives et elles sortent de leur maison pour travailler, pour poursuivre leurs études ou participer à des activités sociales. L'université de Kaboul est un exemple significatif : une grande majorité des étudiants de cette université sont des jeunes filles et, parmi celles-ci, beaucoup viennent des régions pauvres et excentrées du pays. La nouvelle génération de femmes, apparue après la chute des Talibans, se mobilise afin d'améliorer la condition féminine, aidée dans ce combat par des organisations internationales et des militants internationaux. Mais d'où vient cette génération ? Quelle est son origine ? Comment milite-t-elle ? Originaire de plusieurs ethnies et multiculturelle, elle s'est construite, dans les années 1990, sous l'influence de la guerre et des événements politiques subis dans le pays, de l'immigration et de l'éducation. La figure de Shahrzad Akbar permet de mieux connaître [3] la nature et l'importance de son rôle.

Groupe interparlementaire d'amitié France-Afghanistan, Conseil mondial des Hazaras Les Hazaras d'Afghanistan : quelles évolutions depuis 2001 ? Jeudi 29 septembre 2016 Salle Monnerville 16h30-19h00 Palais du Luxembourg ; International audience ; La situation des femmes afghanes est conditionnée en première analyse par le climat d'insécurité et par les difficultés sociales, économique et politiques de l'époque. Depuis 2001 et l'échec des Talibans, l'évolution est sensible, mais elle n'est ni suffisante, ni satisfaisante. Parmi les militants de la cause des femmes, les Hazaras ont été et sont les plus actives dans la vie sociale et économique, ainsi que dans les combats politiques. Au cours de ces dernières années, leur présence a été très significative dans les milieux de l'éducation, dans la société civile et dans les manifestations pour la défense des droits de l'homme. Mais les inégalités dont elles souffrent, en leur qualité de femmes, dans tous les domaines de la vie sociale, économique et politique sont autant d'obstacles pour une transformation et une modernisation de la société, ainsi que pour une reconstruction de l'Afghanistan

Groupe interparlementaire d'amitié France-Afghanistan, Conseil mondial des Hazaras Les Hazaras d'Afghanistan : quelles évolutions depuis 2001 ? Jeudi 29 septembre 2016 Salle Monnerville 16h30-19h00 Palais du Luxembourg ; International audience ; La situation des femmes afghanes est conditionnée en première analyse par le climat d'insécurité et par les difficultés sociales, économique et politiques de l'époque. Depuis 2001 et l'échec des Talibans, l'évolution est sensible, mais elle n'est ni suffisante, ni satisfaisante. Parmi les militants de la cause des femmes, les Hazaras ont été et sont les plus actives dans la vie sociale et économique, ainsi que dans les combats politiques. Au cours de ces dernières années, leur présence a été très significative dans les milieux de l'éducation, dans la société civile et dans les manifestations pour la défense des droits de l'homme. Mais les inégalités dont elles souffrent, en leur qualité de femmes, dans tous les domaines de la vie sociale, économique et politique sont autant d'obstacles pour une transformation et une modernisation de la société, ainsi que pour une reconstruction de l'Afghanistan

Groupe interparlementaire d'amitié France-Afghanistan, Conseil mondial des Hazaras Les Hazaras d'Afghanistan : quelles évolutions depuis 2001 ? Jeudi 29 septembre 2016 Salle Monnerville 16h30-19h00 Palais du Luxembourg ; International audience ; La situation des femmes afghanes est conditionnée en première analyse par le climat d'insécurité et par les difficultés sociales, économique et politiques de l'époque. Depuis 2001 et l'échec des Talibans, l'évolution est sensible, mais elle n'est ni suffisante, ni satisfaisante. Parmi les militants de la cause des femmes, les Hazaras ont été et sont les plus actives dans la vie sociale et économique, ainsi que dans les combats politiques. Au cours de ces dernières années, leur présence a été très significative dans les milieux de l'éducation, dans la société civile et dans les manifestations pour la défense des droits de l'homme. Mais les inégalités dont elles souffrent, en leur qualité de femmes, dans tous les domaines de la vie sociale, économique et politique sont autant d'obstacles pour une transformation et une modernisation de la société, ainsi que pour une reconstruction de l'Afghanistan

Groupe interparlementaire d'amitié France-Afghanistan, Conseil mondial des Hazaras Les Hazaras d'Afghanistan : quelles évolutions depuis 2001 ? Jeudi 29 septembre 2016 Salle Monnerville 16h30-19h00 Palais du Luxembourg ; International audience ; La situation des femmes afghanes est conditionnée en première analyse par le climat d'insécurité et par les difficultés sociales, économique et politiques de l'époque. Depuis 2001 et l'échec des Talibans, l'évolution est sensible, mais elle n'est ni suffisante, ni satisfaisante. Parmi les militants de la cause des femmes, les Hazaras ont été et sont les plus actives dans la vie sociale et économique, ainsi que dans les combats politiques. Au cours de ces dernières années, leur présence a été très significative dans les milieux de l'éducation, dans la société civile et dans les manifestations pour la défense des droits de l'homme. Mais les inégalités dont elles souffrent, en leur qualité de femmes, dans tous les domaines de la vie sociale, économique et politique sont autant d'obstacles pour une transformation et une modernisation de la société, ainsi que pour une reconstruction de l'Afghanistan

Cover -- Half Title -- Title Page -- Copyright Page -- Table of Contents -- Preface -- List of Abbreviations -- 1 Private Grief and Public Mourning -- Death and Strategic Culture -- The Body-Bag Syndrome -- Framing Death -- Alternative Versions -- Domestic Criticism -- Chapter Outline -- 2 Sending Off the Living -- Peacekeeping or War? -- Afghanistan as Political Opportunity -- 'At the top end of soldiering' -- From Accidental Deaths to Killed in Combat -- Table 2.1 Annual casualty rates by nationality, 2001–2013 -- Conclusion -- 3 Homecoming for Heroes? -- Death at Close Range -- Death – Ours and Theirs -- Dead Taliban -- Retrieving and Repatriating the Dead -- Naming the Dead -- 'He died a hero' – Exceptional Deaths -- Conclusion -- 4 Commemorating the Dead -- Memory Activists -- Memorial Days -- Internet Memorials -- Monuments -- Conclusion -- 5 Killed on Our Behalf? -- Soldiers as Killers -- Casualties and Public Opinion -- Dead Soldiers in a Post-Heroic Society -- Political and Popular Commemoration -- Closing the Gap -- The Political Value of Dead Soldiers -- Bibliography